Il parait que le vélo, ça ne s’oublie pas. Quand on sait en faire, sans les petites roues, c’est pour la vie.
Pensez-vous que cela soit vrai ?
De 5 à 15 ans, je crois que j’ai tout fait à vélo. Dans les villages où nous avons habité, 2 pour être précise, mon vélo ne me quittait pas. Des expériences, j’en ai faite avec mes vélos. Avec mon vélo Barbie, j’ai appris à faire du vélo sans roulette. Puis, avec ma soeur, nous avons bravé des dangers, comme « s’amuser » à freiner au tout dernier moment avec les freins avant, face à un mur [Si je savais que TiBiscuit s’amuse à ça, je crois que je l’en interdirais… et je pense qu’il écouterait].
En grandissant, toujours accompagnée de ma soeur, j’ai gravi des côtes redoutées par les coureurs cyclistes, pour ensuite les descendre avec pour défi de ne pas freiner, à aucun instant, juste pour le plaisir des sensations.
Sans vélo dans mon enfance, j’imagine que j’aurai été bien malheureuse.
Puis vers 15 ou 16 ans, je l’ai rangé. Il a pris la poussière. Les araignées y ont fait leurs toiles. Je l’ai oublié.
En 17 ans, je n’étais jamais remontée en selle…
Lire la suite de à proposLa Bicyclette, ce n’est pas comme la Trottinette…