Le mercredi, j’aime regarder TiBiscuit (oui, encore lui… je parle beaucoup de mes garçons sur ce blog… mais ils sont en ce moment une plus grande source d’inspiration que Chupa) durant son entrainement de basket. J’aime le voir me sourire quand il marque un panier.
Pourtant mercredi, je n’étais pas contente du tout. Durant les 15 dernières minutes, les mini poussins apprentis basketteurs ont fait un match. TiBiscuit voulait être dans l’équipe jaune. Pas de chance, il fut de l’équipe bleue, parce que son maillot de basket était bleu foncé, très foncé.
A peine le match débuté, TiBiscuit avait perdu son sourire. Après quelques minutes à lever les bras pour dire « Eh, je suis là », il restait les mains jointes sur le terrain. Plus les minutes passaient et moins il courait.
Sur le terrain, je ne voyais que lui, tel un poteau, inutile. J’avais envie de me lever et d’aller le secouer. J’avais envie de crier pour le réveiller. J’étais dans l’incompréhension. Pourquoi soudain il s’était renfermé comme ça?