Avant qu’il ne sorte en livre de poche, la couverture du livre broché de Paulo Coelho, un de mes écrivains préférés, m’avait toujours intriguée…
Il s’agissait d’une image de la poitrine d’une femme. Il y avait juste un petit doigt boudiné de bébé pointé vers son téton. J’en avais donc juste déduit qu’il s’agissait d’un roman traitant de l’allaitement maternel, du statut de mère d’une femme considérée comme une sorcière.
En effet, il y a un peu de cela dans « La sorcière de Portobello« , bien qu’à aucun moment le sujet ne traite d’allaitement. Par contre le thème principal est bien la mère… la Mère même, le Déesse Mère!
Athéna, Sherine ou la sorcière de PortoBello, appelez- là comme vous voulez, a été adoptée alors qu’elle n’était qu’une enfant par une famille libanaise exilée à Londres. En grandissant, Athéna n’a qu’un souhait : devenir mère, puis retrouver sa véritable mère.