Il y a parfois des situations qui angoissent, des situations où une simple plume, un simple petit coup de vent pourrait tout faire basculer. Au fond de toi, tu le sais, tu le sens…
C’est comme ce jour où TiBiscuit faisait ses 1er pas entre 2 bancs et que Mr Réglisse filmait.
Au fond de moi, je sentais bien que TiBiscuit fatiguait et était de plus en plus chambranlant sur ses petites gambettes, mais je n’ai rien dit… Et boum! C’est le drame. TiBiscuit s’emmêle les pieds et tombe la tête la première sur le rebord en bois du banc. La lèvre ouverte, la tête aussi… 1er point de suture, 1ère cicatrice.
C’est comme ce week-end où j’observais la Chouquette au bord des escaliers menant à son jardin. Des escaliers en béton. Des escaliers plutôt hauts et raides. Chouquette; tout juste 2 ans, faisait un câlin à son gros chien, un Golden, sans se retenir aux barreaux. Ça m’angoissait. Je ne pouvais la lâcher des yeux. Je sentais le drame arriver. Surtout que le chien ne bouge pas. J’y pensais très fort intérieurement comme pour contrer le sort. Puis je ne voulais pas passer pour la folle qui voit le danger partout, même si avec mes doudoux, je suis du genre à imaginer les pires scénarios …