Après avoir lu 3 bonnes critiques du film : Lego, la grande aventure, je me suis dit que c’était LE prochain film à voir en famille. Après 7 ou 8 semaines sans entrer dans une salle obscure, les doudoux commençaient à s’impatienter.
Hier, après la sieste de Chichi (pour qu’il ne soit pas trop énervé), nous sommes donc allés à la séance de 18h au Kinépolis. Le film a reçu le label « famille« , ce qui nous garantit qu’il est tout public.
Certes, il y a de la violence. Mais la violence est de la violence de LEGO. Pas de bleus, pas de sang, juste des Lego qui volent en éclats et peuvent se reconstruire aussi vite qu’ils ont été détruits. De la violence comme quand les enfants (surtout les garçons) jouent avec leurs propres LEGO.
Lego, la grande aventure, ce n’est pas un film d’animation comme les dessins animés Lego NinjaGo ou Lego Chima. Là, les personnages et le décor semblent être de véritables Lego animés en Stop motion.
Au début du film, je me suis demandée quel genre de film j’étais venue voir. Intérieurement, j’étais morte de rire devant cette société de LEGO qui, comme des moutons, exécutaient tout ce qu’on leur indiquait dans leur manuel de vie. Chaque journée les mêmes étapes à répéter. Chaque jour le même épisode de « Où est mon pantalon ? », le même café (qui ressemble étrangement à celui du StarBuck) hors de prix à boire et tout est super Génial pour les petits bonhommes Lego ! D’ailleurs il y a même la chanson « Tout est super génial », que tout le monde trouve super génial (Everything is awesome in english) pour rythmer la journée.
Au milieu de la grande ville, il y a Emmett, un petit bonhomme ordinaire au visage jaune. Un petit bonhomme qui vit seul, n’a pas d’amis à inviter sur le canapé impérial qu’il a l’idée d’inventer, parle à sa plante verte et travaille sur un chantier de construction. Pour construire, il y a toujours un manuel, les mêmes que ceux des boîtes LEGO que nous suivons consciencieusement.