Depuis que nous étions rentrés de notre Noël en Picardie, ce Noël épique où nous avions récupéré nos doudoux, en vacances chez leurs grands-parents depuis 1 semaine, je sentais bien qu’il y avait comme un malaise…
TiBiscuit n’était plus tout à fait le même que la semaine précédent les vacances scolaires…
J’imaginais qu’1 semaine de vacances à la maison, en famille, enfin sans Mr Réglisse qui lui travaillait, nous ferait du bien, mais finalement, rien n’était comme je l’avais imaginé… [cf billet précédent] C’est un TiBiscuit plein de colère, de mauvaise humeur qui était rentré avec nous, un TiBiscuit qui me rendait la vie dure alors que j’avais plus besoin de calme que de cris… J’avais bien envie de remettre la faute sur les grands-parents mais bon, ça aurait été la solution de facilité.
Ça ne pouvait plus durer.
Mais pas facile d’engager la conversation avec un petit bonhomme qui préfère aboyer plutôt que de converser… Il fallait pourtant crever l’abcès.