Enfant, j’enviais mes cousins. Ils avaient pleins de playmobils, ils avaient pleins de LEGO, ils avaient des lits superposés et surtout, ils avaient pleins de copains qui venaient jouer avec eux le week-end.
Trop de la chance! Ma soeur et moi, le week-end, nous restions à 2. Nos amies n’habitaient pas loin mais rares étaient les jours sans école où nous nous voyions [ou alors j’ai la mémoire courte]. Or, chez mes cousins, la sonnette retentissait toujours et derrière, il y avait toujours un petit voisin pour venir jouer avec mes cousins.
Ca rentrait, ça sortait, ça jouait, ça vivait. Il y avait du mouvement perpétuellement.
C’était un des effets d’habiter en lotissement.
Aujourd’hui, je suis adulte.
Aujourd’hui, et ce depuis bientôt 6 mois, j’habite en lotissement.
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