Quelques MicroGrammes d’Ibuprofène pour un monde de Douceur

Par habitude, par mimétisme des publicités, on a tendance à dire, pour rire, « Un Mars et ça repart« .

Sincèrement, les mars ne m’ont jamais fait repartir. D’ailleurs, enfant, je préférais les bountys. Ou les balistos jaunes, voir verts, mais pas les violets. Maintenant, si je sens que j’ai besoin d’un p’tit coup de boost, d’un regain d’énergie, j’ai tendance à boire du pepsi, pour la caféine.

Mais quand je suis tellement fatiguée que j’en attrape une barre au dessus des yeux – Quelle est désagréable cette barre – je n’ai plus qu’une solution : 400 mg d’ibuprofène. 1 gramme de paracétamol, c’est beaucoup trop long à agir.

Presque tous les soirs, vers 17h15, étrangement, l’envie de prendre mes 400mg d’ibuprofène me démange. L’impression que mon cerveau cogne contre ma boîte crânienne s’intensifie alors que durant toute la journée, tout allait bien … Parfois je me venge sur le chocolat alors que je n’ai même pas faim. Certainement pour récupérer un peu de fer, juste un chouïa. Ou sur le coca, pour absorber la caféine.

Mais pourquoi ce phénomène survient toujours vers 17h15 les lundis, mardis, jeudis et vendredis ?

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