Avec Chichi, les couchers sont assez compliqués, je vous l’ai déjà expliqué.
Mais ce que je ne vous ai pas encore dit, c’est que les réveils le sont également. Enfin, sauf le mercredi et le dimanche, ou pendant les vacances.
C’est un peu le cercle vicieux de l’enfant en petite section qui n’a plus vraiment besoin de sieste mais la fait tout de même. Le soir, il n’arrive pas à s’endormir avant 21h30-22h et le matin, il voudrait continuer à dormir 1h de plus. Du coup, le matin, je n’arrive pas à le sortir de son lit. Il me demande d’attendre encore un peu alors que j’ai déjà laissé tourner les aiguilles du cadran au max, qu’il n’y a presque plus de marge.
Cette semaine, tous les jours, sauf le lundi, nous sommes arrivés alors qu’une des 2 portes de l’école étaient fermée. Cela signifie que les parents n’ont plus le droit d’accompagner l’enfant jusqu’à la classe et qu’il sera emmené par une Atsem. Pour moi, ça ne change pas grand chose. Chichi pleure même un peu moins quand il est emmené par une Atsem que quand j’ai le temps de lui faire un câlin devant la classe. Mais sa maîtresse est la directrice alors au fond, je me sens coupable d’arriver tous les matins 1 à 2 minutes trop tard. T-Biscuit et Chupa ne sont jamais en retard, les portes ne ferment pas à 8h45 pile. Je suis honteuse. Mais aussi fatiguée. Cette année avec l’école le samedi matin m’épuise.
Le matin, j’essaie toujours de réveiller mes doudoux en douceur. Je n’entre pas comme une brute en allumant toutes les lumières. Je les réveille avec quelques caresses dans le dos. Du coup, je le prends très mal et râle direct quand ils m’accueillent avec des grognements. J’ai aussi toutes les raisons de grogner. Lire la suite de à proposLe réveil est presque aussi compliqué que le coucher…