Il paraît que certains bébés ne choisissent jamais de « doudou », cet objet transitionnel permettant aux tout-petits de mieux vivre la séparation d’avec maman. Honnêtement, il me semble qu’ils ratent une expérience sensorielle incroyable. N’y a-t’il pas meilleure sensation que de frotter son petit bout de nez contre un tissu tout doux ? Il me semble que non. L’expérience olfactive est également au rendez-vous quand ce bout de tissu n’a pas été lavé depuis longtemps et qu’il sent un mélange de bave avec du biscuit, de la poussière et une légère odeur de vieille chaussette. Enfant, j’ai eu ce genre d’expériences mais sans le tout doux. Juste l’odeur. Une odeur pleine de réminiscence pour moi.
Si on faisait une check-list des critères du doudou parfait, il faudrait qu’il soit :
- tout doux, c’est une évidence !
- avec des étiquettes, c’est tellement mieux pour frotter un bout de doigt ou le nez
- des bouts avec ou sans nœud à mâchouiller (pour l’odeur du bave)
- une forme facile à prendre en main et à traîner partout
Ce doudou parfait existe. C’est le nin-nin. Et cerise sur la sucette, il se décline en tout un tas d’imprimés différents. Des imprimés tellement tendance que vous aurez envie d’en offrir à tous les bébés de votre entourage.
Mon coup de cœur du moment : l’imprimé paresseux ! Animal emblématique symbolisant l’art de vivre au ralenti.
L’autre plus est la jolie boîte dans laquelle le nin-nin est livré, avec un certificat d’authenticité. Vous pourrez même le faire personnaliser et éviter les vols (oui, ça arrive) ou faciliter les retrouvailles en cas de perte.
Ce Nin-nin est tellement doux qu’on retomberait bien en enfance à la maison !
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