Quand « vacances » finit par rimer avec « hôpital » {épilogue}

Je pense que le suspens a déjà assez duré…
Je ne pensais pas faire 3 notes sur le sujet au départ, mais finalement j’ai eu envie de bien rentrer dans les détails, de ne rien oublier. J’ai regretté à certains moments de cette mésaventure de ne pas pouvoir écrire sur le moment pour me libérer de tout ce qui gambergeait en moi, mais c’était tellement noir… Je savais qu’en écrivant « après coup », cet épisode perdrait de sa gravité, enfin de la gravité qu’il avait pour moi.
Mais je vous remercie de m’avoir lu en sachant qu’il y avait un happy end.

Bon, ce n’est pas tout ça, mais où en étais-je?
Surtout si vous n’avez pas lu la Part II, je vous invite vivement à le faire.

Nous étions donc de retour chez belle maman avec notre TiBiscuit accompagné de sa perfusion de glucose.
Allongé sur la banquette, TiBiscuit dormait. Nous, nous cherchions un moyen de tenir sa perfusion en hauteur sans le gêner. Le pauvre, déjà que sa perfusion était sur sa main droite et qu’il ne pouvait plus tenir son doudou dans sa main, ni le caresser comme à son habitude, il fallait bien diminuer au maximum son inconfort.

Une heure plus tard, mon Homme repartait à l’hôpital avec sa tante afin de récupérer les résultats d’analyses sanguines.
A ce moment là, nous pensions que la perfusion de glucose redonnerait quelques forces à TiBiscuit et qu’il serait ensuite ne mesure de manger puis tout finirait par revenir à la normal.

Sauf qu’au moment où mon Homme est revenu de l’hôpital, ses premiers mots ont été : » Il faut y retourner »
J’avais du mal à en croire mes oreilles. Pourquoi avions-nous besoin d’y retourner?
Les résultats d’analyses étaient très mauvais. TiBiscuit présentait une très grosse infection d’après un taux qui était à 148 alors qu’il devait être inférieur à 10… Ne me demandez pas de quel taux il s’agit, je n’en sais fichtre rien…
La ponction lombaire était maintenant inévitable.

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Comment troquer quelques soirées de mariages contre une belle frayeur ? (part I)

A peine un pied posé sur le sol Tunisien, ma seule préoccupation était de savoir comment j’arriverai à échapper aux nombreux mariages auxquels nous étions conviés. On dirait que c’est épidémique les mariages là-bas… Chaque soir, il peut y avoir une fête de mariage dans le quartier.

Je ne vous verrai pas un exposé sur les mariages en Tunisie, mais bien souvent, il y a plusieurs fêtes sur plusieurs jours et bien souvent, la seule occupation à avoir est de rester assise sur une chaise pendant 3 heures à regarder la mariée ou les mariés… enfin rien de bien passionnant.

Bref, je m’évertuais à trouver une excuse valable pour échapper du moins à quelques soirées quand la solution est venue d’elle même à moi… Et je peux vous dire que finalement, j’aurai préféré 1000 fois assister à un mariage chaque soir de mes vacances que d’avoir à vivre ça …
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