Battue par KO !


zetouneEntre mon chat et moi, je me demandais laquelle des 2 était la plus forte, laquelle battrait l’autre par KO et j’ai eu la réponse jeudi dernier…

J’avoue que dernièrement, je la cherchais un peu, à titiller sa susceptibilité, en lui rappelant sans cesse à quel point elle avait pris du poids ces dernières années. Je me moquais aussi assez souvent d’elle, lui faisant remarquer sa difficulté à sauter ou à se glisser sous certains meubles en dessous desquels elle passait sans difficulté auparavant. Je l’appelais « La grosse Zétoune ». J’avais même réussi à convaincre Mr Réglisse de la mettre au régime. Il avait enfin ouvert les yeux après l’avoir pesé.

Sauf que la bête est rusée, la bête est maligne. Elle a d’abord tenté de soudoyé TiBiscuit en le suivant dans chaque pièce, en miaulant à ses côtés, en tentant de l’apitoyer. Et ça marchait ! TiBiscuit nous implorait de donner des sachets fraîcheur à Zétoune. Mais non, hors de question !

Puis le chat s’est mis à faire tout ses cacas hors de sa litière. Les pipis étaient toujours bien dans la litière mais les cacas, non, toujours à côté. Et là, ça m’a passablement énervé !

Nanmého ! Est-ce que je fais caca à côté des toilettes moi !? Et L’excuse de la litière pas assez propre au goût de Madame, je suis désolée, mais même si je dois aller faire mes besoins dans des toilettes dégoutantes, je ne ferai jamais à côté. On n’a jamais vu ça ! Lire la suite de à proposBattue par KO !

Quand « vacances » finit par rimer avec « hôpital » {épilogue}

Je pense que le suspens a déjà assez duré…
Je ne pensais pas faire 3 notes sur le sujet au départ, mais finalement j’ai eu envie de bien rentrer dans les détails, de ne rien oublier. J’ai regretté à certains moments de cette mésaventure de ne pas pouvoir écrire sur le moment pour me libérer de tout ce qui gambergeait en moi, mais c’était tellement noir… Je savais qu’en écrivant « après coup », cet épisode perdrait de sa gravité, enfin de la gravité qu’il avait pour moi.
Mais je vous remercie de m’avoir lu en sachant qu’il y avait un happy end.

Bon, ce n’est pas tout ça, mais où en étais-je?
Surtout si vous n’avez pas lu la Part II, je vous invite vivement à le faire.

Nous étions donc de retour chez belle maman avec notre TiBiscuit accompagné de sa perfusion de glucose.
Allongé sur la banquette, TiBiscuit dormait. Nous, nous cherchions un moyen de tenir sa perfusion en hauteur sans le gêner. Le pauvre, déjà que sa perfusion était sur sa main droite et qu’il ne pouvait plus tenir son doudou dans sa main, ni le caresser comme à son habitude, il fallait bien diminuer au maximum son inconfort.

Une heure plus tard, mon Homme repartait à l’hôpital avec sa tante afin de récupérer les résultats d’analyses sanguines.
A ce moment là, nous pensions que la perfusion de glucose redonnerait quelques forces à TiBiscuit et qu’il serait ensuite ne mesure de manger puis tout finirait par revenir à la normal.

Sauf qu’au moment où mon Homme est revenu de l’hôpital, ses premiers mots ont été : » Il faut y retourner »
J’avais du mal à en croire mes oreilles. Pourquoi avions-nous besoin d’y retourner?
Les résultats d’analyses étaient très mauvais. TiBiscuit présentait une très grosse infection d’après un taux qui était à 148 alors qu’il devait être inférieur à 10… Ne me demandez pas de quel taux il s’agit, je n’en sais fichtre rien…
La ponction lombaire était maintenant inévitable.

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