Il se passe une chose étrange avec mes doudoux … Ils sont comme réfractaires au mot « maman« … ou alors ils y sont allergiques… Oui parce qu’avec eux, tout est prétexte à l’allergie!
« Ah non, je ne peux pas, je suis allergique! » est une excuse assez prisée chez Chupa. Et elle ne sait même pas ce que signifie le mot « allergique« . Vous allez dire que dans les billets où je relate mes discussions avec mes doudoux, ils m’appellent « maman« , pourtant, ce n’est pas toujours le cas… mais comprenez, j’ai parfois honte des surnoms qu’ils me trouvent…
Pour TiBiscuit, cette tendance a débuté dès les 1ers mots sortis de sa bouche entututée. Alors que la plupart des bébés appellent leur maman « maman » dès 1 an, voir plus tôt, lui ne m’appelait pas. Il hurlait dans son lit. Jusqu’au jour où il a décidé de m’appeler « Mama-Con« … il avait 18 mois… Et on dit que la vérité sort de la bouche des enfants. Je ne te dis pas merci TiBiscuit!
Puis vers 2 ans, TiBiscuit a provoqué l’étonnement de tous en m’appelant par mon prénom. Cette habitude s’appliquant aussi à Mr Réglisse. Je ne sais plus combien de temps cela a duré… toujours est-il qu’après il a décidé de m’appeler « Mamie« , que j’essayais de détourner en Mummy parce que bon, ça va mais je n’ai pas l’air d’une mamie! Ce serait un comble à même pas 30 ans!
Avoir un métro de retard, c’est ma tendance.
Le débat a déjà eu lieu l’année dernière sur certains blogs, mais l’année dernière, j’avais du mal à avoir un véritable avis car je n’étais pas concernée.
Je n’aime pas quand une série télé me fait pleurer … C’est vrai, c’est de la fiction. Mais la fiction rejoint parfois la réalité. Et, jeudi soir, pendant que Mr Réglisse était au cinéma avec un collègue pour voir District 9, ce qui devait arriver arriva.
Les bébés et le sommeil, c’est bien connu, à part à de rares exceptions, ils ne sont pas copain … ou pas assez au goût des parents. Le pire à gérer étant cette période à la tombée de la nuit où beaucoup de bébés pleurent sans raison apparente, juste pour évacuer le trop plein de stress de la journée.
J’adore qu’on me fasse culpabiliser ! Comme si je ne culpabilisais pas déjà assez [de temps en temps] de ne pas être une maman assez parfaite…
Hier, c’était la nuit du doute. La nuit où l’on ne sait pas si le 1er croissant de lune sera visible ou non.
Maman en mode curieuse ON