D’ici quelques semaines, je pourrai fêter ma première année en tant qu’auto-entrepreneur. Enfin, en tant qu’indépendante. Fini le salaire fixe qui tombe tous les avant derniers jours du mois.
Enfin, là n’est pas le sujet que je souhaite aborder, même si j’avoue qu’un salaire fixe, c’est un peu comme un doudou : super réconfortant.
L’année dernière quand j’ai pris la grande décision de me jeter dans le grand bain, seule, c’était pour tout un tas de raison, mais surtout parce qu’avant d’être licenciée, j’avais fait le choix de prendre un congé parental et de rester à la maison avec mon bébé. Je voulais profiter de lui, sans devoir partir à la recherche d’une crèche ou d’une nounou. Sauf que là, mon projet de rester à la maison pour m’occuper uniquement de mon dernier né était tout chamboulé. Si je maintenais mon choix, je perdais beaucoup d’avantages liés au licenciement. Alors comme l’idée mûrissait en moi depuis longtemps, moi qui rêvais parfois de télétravail, j’ai jugé le moment opportun pour me lancer, avec tout de même un filet de sécurité.
Mon envie de rester à la maison pour m’occuper uniquement de mon bébé devenait alors rester à la maison pour m’occuper de mon bébé en travaillant ! Soit une variable en plus.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les premiers mois, c’était easy. Chichi était un bébé super cool qui dormait beaucoup. Tellement « les doigts dans le nez » que j’ai bêtement laissé passer l’aide accordé aux jeunes mamans de 3 enfants pour avoir une femme de ménage durant quelques semaines. Je sais, je mérite des claques.
Aujourd’hui, Chichi a 20 mois et c’est maintenant que les choses se corsent.
. Une chouette idée quand on sait que Chupa râle souvent de ne pas avoir assez de jeux de société à elle. TiBiscuit ne veut pas lui prêter les siens. Puis ce fut tout 
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